jeudi 3 mars 2011

La Batut


Le château de La Batut est un château français situé sur la commune de Saint-Chamassy en Dordogne, dans le Périgord noir, à onze kilomètres du Bugue et à huit kilomètres du Buisson-de-Cadouin.

Il fut construit au XVe siècle. Il a été modifié au XVIIIe siècle. (Wikipédia

Marcilly


Située à 6 km au Sud de Corbigny, en bordure de la RD 985, le château de Marcilly est perché sur un promontoire dominant un ancien gué de l'Yonne, cette forteresse du XVe siècle, est située au finage de Cervon, dans l'arrondissement de Clamecy, canton de Corbigny, dans la Nièvre, en Morvan, région de la Bourgogne, en face d'un joli pont servant de passage de la route de Clamecy à Luzy. On y accéde, du côté de Cervon par une belle avenue, aux arbres bicentenaires, fermée d'une grille en fer, qui améne à la cour intérieur après avoir franchi un pont dormant, enjambant une douve sèche.


Historique.

Château bâti dans le milieu du XVe siècle, par Jean de Salazart, gentilhomme espagnol, baron du lieu. Il est de forme triangulaire et composés de diverses constructions, formant avec ses défenses, un quadrilatère pourvu de quatre tous angulaires. Le principal corps de logis, était flanqué en 1865 de deux grosses tours et de deux cavaliers, à cul-de-lampe. Repris dans la première moitié du XVIIIe siècle, (en particulier la construction des communs), très remanié aux XIXe siècle et au XXe siècle, au cours des années 1915 et 1970. Sur le tympan de la porte d'honneur, se voient les restes frustres d'un écusson, aux armes des seigneurs. Le haut des murs est garni d'assommoirs, qui en forment comme l'entablement. Une ceinture de murailles, fortifiée de plusieurs tours, dont deux subsistent encore, et précédée de fossés, que l'on franchissait sur un pont-levis, le protégeait sur trois faces, tandis que l'Yonne le défendait de l'autre. Tel est la description quen nous en donne l'Abbé Baudiau.

C'était le siège d'une baronnie, avec haute, moyenne et basse justice. Elle mouvait en partie de l'Abbaye Saint-Léonard de Corbigny et appartenait en 1443, à Jean de Salazart, qui la vendit pour payer la châtellenie de Toucy, qu'il venait d'acquérir, à Jean Bondault, ou Boudault, écuyer, seigneur de Tavenault et du Bruys, bailli et gouverneur de Château-Chinon. Celui-ci n'ayant pas eu de postérité d'Antoinette Damise son épouse, légua la seigneurie à Pierre Leroy de Carreau, son neveu qui le possédait en 1508.

En 1540, cette terre était la propriété de Paul de La Forest, dont la petite-fille, Anne, épousa Pierre II Leroy, baron d'Alarde, qui vivait en 1650, veuve, elle se remaria à Louis de Jaucourt, sire de Domecy-sur-Cure et de Dourday. Elle sera inhumée en l'église de Cervon en 1696. De cette union naquirent: Pierre-Jean; Eustache-Louis, seigneur de Marcilly, de Cuy, de Fretoy; Nicolas-François, sieur de Carreau (Carrault) et de Cuzy. Jean de Mesgrigny et Antoine de Bretagne, se disaient aussi seigneurs de Marcilly, en 1680.

Charles Leroy de Carreau, vendit sa portion de la baronnie, du consentement de Jeanne de Beauquerre, sa femme, le 15 janvier 1710, pour 13500 livres, à Jacques-Louis de Mesgrigny, comte d'Aunay et de Villebertin, seigneur de Souleaux, grand bailli d'épée de Troyes. Celui-ci épousa Charlotte Le Prestre, fille du Maréchal de Vauban, qui lui apporta la baronnie d'Epiry, les seigneuries de Cervon, de La Chaume... De leur union naquirent en autres, Jean Charles de Mesgrigny, comte d'Aunay, baron d'Epery, lieutenant-généralk des Armées du Roi, inspecteur des fortifications de France, et Pierre-Antoine, abbé de Cervon, seigneur de Marcilly, où il résidait en 1729. La fille du premier, Marie-Claude Aimée de Mesgrigny, porta Marcilly et les autres biens de sa maison, à Louis Le Pelletier de Rosembo, président à mortier au Parlement de Paris, d'une ancienne famille qui porte :

  * Armoiries

" D'azur, à la croix patée d'argent, chargée en cœur d'un chevron de gueules, accosté de deux molettes d'éperon de sable, et en pointe, d'une rose, boutonnée d'or "

  * Devise

"In cruce spes et robur "

Louis décéda en 1760, laissant deux fils: Louis II, marié à Melle de Malesherbes, et Charles-Louis David, auquel son aïeul, Jean-Charles de Mesgrigny, assura le comté d'Aunay, à la condition qu'il en prendrait le nom et les armes qui étaient:

  * Armoiries

" D'argent, au lion passant de sable"

Celui-ci épousa Elisabeth-Flavie de Chastenet, petite-fille de Jacques François de Chastenet de Puységur, marquis, maréchal de France, elle lui donna trois fils et une fille.

Le puîné, Louis-Etienne Hector, comte d'Aunay, entra de bonne heure à l'école miltaire d'Auxerre, qu'il dut quitter au moment de la Révolution. Il fut maire de Paris sous le Premier Empire, élu député à plusieurs reprises sous la Restauration et le gouvernement de Louis-Philippe, et président du Conseil Général de la Nièvre. De son union avec Angélique-Marie-Adélaïde Guerrier de Romagnat, qu'il épousa en 1800, vinrent huit enfants: Ernest, conseiller à la cour impériale de Paris; Théobald, capitaine de cavalerie; Raoul, lieutenant de frégate; Honoré-Joseph-Octave qui suit; Délie, mariée à Louis de Givry; Félicie; Hectorine, qui épousa Eugène-Elie de Beaumont; Louise, femme d'Alexandre de Pracomtal de la branche de Normandie. Il décéda le 10 janvier 1851, âgé de 74 ans, et son épouse le 25 janvier 1864.

Leur quatrième fils, le comte Honoré-Joseph-Octave Le Peletier d'Aunay, officier de la Légion d'honneur, député au Corps législatif, membre du Conseil général de la Nièvre, maire de Cervon, était propriétaire du château en 1865, où il résidait. Il est décrit par ses contemporains comme un homme bienveillant, obligeant et aux vertus religieuses reconnues. Il a épousé Renée-Adèle de La Ferrière, dont il a eu une fille, Adélaïde-Louise.

Rez-de-chaussée.

Le corps de logis principal à un rez-de-chaussée surélevé et il est flanqué de deux tours rondes dont celle située au Sud-Ouest, paraît être la plus ancienne. La base est faite d'une pièce voûtée, ronde, dont les embrasures de canonnières furent transformées en étoites fenêtres. Un escalier inclus dans le mur permet l'accés à l'étage. La tour du Nord-Ouest comporte les mêmes dispositions architecturales que la précédente en ce qui concerne sa base. Les fenêtres furent agrandies au XVIIIe siècle.

La façade sur la cour intérieure comporte en son centre une porte de XVIIe siècle et chaque extrémité comporte une tourelle en encorbellement dont une pourvue d'un escalier.

Ce niveau est composé de quatre grandes pièces voûtées d'arêtes, dont une dispose d'un escalier reliant à l'étage. L'aile construite en retour d'équerre est une réalisation du XIXe siècle qui engloble pour partie une des tours remaniée.

Premier étage.

Les courtines, furent supprimées au XVIIIe siècle, sans toutefois avoir touché les vieilles tours d'angle qui existent toujours.

Combles.

Au XVIIIe siècle, ils sont aménagés et percés de fenêtres à croupes mansardées sur un niveau d'un côté et sur deux sur l'autre face.

Chapelle.

Sur la terrasse au Sud, se trouvait une chapelle castrale, détruite en 1792.

Particularités.

Les pièces de canon qu'il conserve sont des souvenirs de la prise de Philippsbourg, donné à Vauban par le Grand Dauphin. De nombreux souvenirs du Maréchal Vauban y sont conservés.

Paries protégées.

Les communs, la Chapelle, du XVIIe siècle, les décors intérieurs (cadastre.F 527, 591), protégés depuis le 8 novembre 1996.

Sources : Wikipédia 

Pontot


Construit sur l'emplacement d'une ancienne maison forte dans l'arrondissement de Clamecy, canton de Corbigny, au finage de Cervon, dans le Morvan, dans la Nièvre, au cœur de la Bourgogne. Ce château dans la vallée est accessible par la route départementale RD 170 et la route de Doussas à Cervon.

Historique.

Cette très ancienne maison forte du Pontot brûla lors de la Guerre de Cent ans. Sur son emplacement le propriétaire un seigneur du Pontot reconstruisit au XVe siècle, un château. Cette seigneurie était en toute justice, mouvant en plein fief du Comté de Château-Chinon et de la baronnie de Lormes-Chalon. Charles du Pontot, acheta le droit de justice en 1545, au duc de Nevers:François Ier de Clèves.

Description

Il reste quelques quelques éléments de l'antique maison forte dans ce qui compose le long corps de logis, à un étage et combles, avec une tour ronde isolée avec barbacanes. Deux tours hexagonales ressortent de la façade Nord, l'une date du XVe siècle, dans laquelle se loge un escalier à vis. L'autre est dans la partie qui fut rallongé au XIXe siècle et vient en symétrie de la première. A l'extrémité Est fut construit un bâtiment sans caractère qui vient en retour d'équerre. Une imposante tour carrée est située à l'Est, et fut remaniée et couverte d'un toit brisé, tandis qu'à l'Ouest se trouve la grosse tour ronde, qui fut rejointe par l'adjonction d'un corps de bâtiment au XIXe siècle. Les fenêtres furent percées au XVIIe siècle. La cour intérieure est bordée par des communs qui datent du XVIIe siècle.

Seigneurs.

  * Maison du Pontot

Guillaume et Peronnet du Pontot, écuyers, reprirent de fief en 1459. Jean du Pontot, chevalier, seigneur de Cervon, en partie de Mhère, de Vauclaix..., en fit autant en 1509. Léonard du Pontot, bailli du Nivernais, était possesseur du Pontot en 1528. Charles du Pontot, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, acquis du duc de Nevers, François Ier de Clèves, la haute justice de Cervon en partie, de Viry, de Maré, du Pontot et de Remilly en 1545.

François- Salomon du Pontot, était président en l'élection en 1607, et Barthélémy du Pontot, procureur fiscal de Cervon. Jean Salomon étant décédé, sa veuve Jeanne-Françoise Moreau fut dépossédée de cette terre en 1666, par un décret, rendu à la requête de Nicolas de Mesgrigny, comte de Villebertin, de Charles de La Rivière et d'Antoine de Damas, comme étant aux droits d'Edmée Georgette et Françoise de Reignier, héritières de Jacques, comte d'Aunay[2]. Jeanne-Françoise Moireau, fut inhumée dans l'église paroissiale, en présence de Jean et François, ses fils et de Michel Salomon, chanoine de la collégiale, son beau-frère.

En 1717, Marie Panon, veuve de Stample, était dame du Pontot. Elle possédait, malgré sa religion prétendue réformée, une chapelle en l'église de Cervon. Paul Stample, son fils, laissa une héritière, qui porta la seigneurie à Pierre de Paris, issu d'une famille huguenote. Marguerite de Paris, adjura le 4 août 1743, dans l'église paroissiale. Jean-Etienne, vendit le Pontot, en viager, le 26 décembre 1799, à Nicolas-François Gueneau, homme de loi, dont les descendantsle possédaient encore en 1865. L'Abbé Baudiau a pu voir au château dans les années 1860, une grande collection de médailles des empereurs: Claude, Gallien, Posthume, Victorin, Salonin..., pièces recueillies dans le voisinage du château au cours du temps. C'est près de là que furent découvert 15 squelettes d'hommes d'environ 25 ans qui ont fait penser qu'un combat avait dû avoir lieu, au XVIe siècle, en ce lieu entre huguenots et catholiques.

Armoiries.

"Ecartelé, au Ier et dernier d'azur, au lion d'argent et à la bande de gueules, brochant sur le tout; au 2e et 3e losangés d'argent et d'azur "

Sources : Wikipédia 

Cuzy


A l'Est de Cervon, sur le flanc d'une colline s'éléve le château de Cuzy ou Cusy ou encore Cufy, au hameau du même nom, au finage de Cervon, dans le département de la Nièvre, en Morvan, au cœur de la Bourgogne.

Historique.

Cette bâtisse fut élevée au XVIIe siècle, elle était le siège d'une seigneurie, avec ses dépendances, en toute justice, mouvante du Comté de Château-Chinon, à cause de la baronnie de Lormes.

Jean de La Forest et son beau-frère Jean de Coignard, reprirent de fief en 1450. Leurs fils, nobles Guillaume et Claude, en étaient les seigneurs indivis en 1500. Paul de La Forest, donna reconnaissance au comte de Château-Chinon,François d'Orléans-Longueville, en 1540. Il aurait embrassé quelques temps après les idées luthériennes. Sa petite-fille: Anne de La Forest, porta la seigneurie de Cuzye et de Marcilly, sur la paroisse de Cervon, à Pierre Leroy, chevalier, baron d'Alarde. Anne veuve, épousa en secondes noces , Louis de Jaucourt, sire de Dourdey et Domecy, dans la chapelle de Cuzy en présence des frères de l'époux: François, Louis, François et Elie de Jaucourt. De sa première union elle eut un fils, Nicolas-François Leroy,(Le Roy) qui reprit de fief en 1698, du prince de Carignan, qui lui reconnut le droit d'instituer, juge, greffier, sergent et garde-bois. Il épousa Marguerite Le Gathelier,(Gaftelier) qui lui donna un fils et une fille: Gabriel, décédé en 1699 et inhumé dans la chapelle du château. Anne la fille, fut mariée à François Marie de Meung de La Ferté (Solière), seigneur du lieu, capitaine d'une compagnie dans le régiment Royal Cavalerie, en la place du sieur de La Ferté, son oncle. Le mariage fut célébré le 2 juillet 1701, dans la chapelle du Château de Cuzy.

François-Alexandre de la Chenaye-Aubert, nous dit, lui, dans son Recueil de Généalogie pour servir de suppléments au Dictionnaire de la Noblesse: « Il époufa, après la mort de fes pere&mere, en préfence de fes freres, par contrat paffé au château de Cufy, le 7 juillet 1701, Damoselle Anne Le Roy, fille majeure de Meffire Nicolas-François le Roy, Seigneur de Lavault, La Fay, Cufy, &c & feu Dame Marguerite le Gaftelier, demeurant au château de Cufy, paroiffe de Cervon; ce contat est figné Buffy, Notaire-Royal à Lonne » Il poursuit par l'indication de la descendance de deux enfants: Jacques-Louis et Jean-François de Meung, qualifié de Sieur de la Ferté, mineur en 1732;

Cette terre était alors en indivis, la propriété de Edme de La Corcelle, écuyer, seigneur de Bailly, dont le fils Nicolas se disait seigneur de Cuzy en 1717. Claude de La Corcelle, Chevalier de Saint-Louis, capitaine du Régiment de la Sarre, sieur de Bailly et de Cuzy, testa le 24 janvier 1740, et fut inhumé dans la chapelle du château. Il légua 200 livres aux pauvres et voulu qu'il lui fût fait un obit par les chanoines de Cervon et un autre par les Capucins de Corbigny. François Leroy de La Corcelle, son neveu, lieutenant du régiment de La Marche, fut son légataire universel.Jacques-Louis de La Ferté-Meun, comte de La Roche-Millay, seigneur de Solière, était le propriétaire des lieux en 1760. Son fils, Jacques-Louis II, dit le Vicomte de Solière, le légua à la famille Guiétant, de laquelle il passa par alliance à Mr Bidault qui le possédait en 1865.

Description des bâtiments.

   * Châteaux

Bâtisse rectangulaire, avec un étage, surmontée de combles garnis de chiens-assis.

   * Chapelle

Dans cette chapelle eurent lieu différents événements familliaux: le mariage d'Anne de La Forest avec Louis de Jaucourt, en présence des frères de ce dernier.Plus tard les épousailles d'Anne Leroy avec François-Marie de Meun de La Ferté-Solière, le 2 juillet 1701. Les sépultures de Gabriel Leroy, en 1699, de Claude de La Corcelle en 1740.

Seigneurs.

    * 1450 - Jean de La Forest et son beau-frère Jean de Coignard
    * 1580 ca - Pierre Leroy
    * 1698 - Nicolas François Leroy
    * 1701 - François Marie de Meung de la Ferté-Solière
    * 1717 - Edme de La Corcelle et son fils Nicolas de La Corcelle
    * 1740 - Claude de La Corcelle
    * 1760 - Jacques-Louis de la Ferté-Meun
    * 1800 ca - Famille Guiétant
    * 1865 - Mr Bidault

Armoiries.

   * de la Maison de La Ferté-Meun:

" Ecartelé au Ie & 4e d'hermines au sautoir de gueules;qui est la Ferté au 2e & 3e, écartelé d'argent et de gueules, qui est de Meun, supports deux hermines au naturel ".

Visites.

Propriété Privée ne se visite pas.

Sources : Wikipédia 

Jonquières


Le château de Jonquières est un édifice du XVIIe siècle inscrit au titre des monuments historiques. Il se situe dans le village de Jonquières, département de l'Hérault.


Propriété des Saint Jean, au XIIIe siècle, puis des Vissec de Latude, le château n'est pas abandonné, mais remanié au XVIIe siècle, comme en témoigne sa cour de style renaissance agrémentée d'un escalier en "fer à cheval" et  d'un double balcon. Le château est resté demeure familiale  jusqu'à nos jours et  depuis ces temps immémoriaux la culture de la vigne y fut toujours présente.
Par le jeu des héritages successifs la demeure devient la propriété des Lansade, baron de Jonquières. N'ayant aucun descendant direct, le château et les terres sont légués à la famille Cabissole au début des années 70.
C'est à François de Cabissole que revient la tâche de sauver ce vignoble laissé à l'abandon...

Château de Jonquieres 34725 Jonquieres, Francois et Isabelle de Cabissole, quatre chambres d’hôtes de style et de caractère dans un cadre exceptionnel et authentique.

Fozières


Le château de Fozières est une ancienne demeure seigneuriale du XIIe siècle modifiée au XVIIe siècle.

Cet édifice inscrit au titre des monuments historiques se situe dans la commune de Fozières, département de l'Hérault.

Protection.

Les trois tours, les salles voûtées et la cheminée en pierre du premier étage font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 février 1951. (Wikipédia

Aubenas


Le château d'Aubenas également appelé château de Montlaur est situé dans la commune d'Aubenas dans le département de l'Ardèche.

Il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 2 mars 1943.

Le château est propriété de la commune, il est l'Hôtel de Ville d'Auenas (Wikipédia
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