mardi 25 janvier 2011

Laroque


Le château de Laroque est une place forte des XIe et XIIe siècles inscrite au titre des monuments historiques.

Ancien poste de guet surveillant l'accès à la vallée de l'Hérault, cet édifice domine le village de Laroque, dans le département de l'Hérault.

Protection.

L'escalier d'accès, les façades et toitures, la chapelle font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 22 janvier 1979.

Sources : Wikipédia 

Grézan


Le château de Grézan est une ancienne commanderie templière transformée au XIXe siècle en château féodal de fantaisie.

Inscrit au titre des monuments historiques, cet ensemble de taille considérable ceint de remparts crénelés est situé à Laurens, dans le département de l'Hérault.

Protection.

Les façades et toitures de l'ensemble des bâtiments, ainsi que le parc (cotés D2 693 à 695, 1112 à 1114, 1125 à 1127, 1161 à 1163 au cadastre) font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 22 juillet 1993.

Sources : Wikipédia 

Chaumont


Le château de Chaumont fut construit au XIe siècle sur un promontoire terminant le Vuache au Sud Est. Avec une large vue panoramique, c'est un endroit de passage et de péage obligé de la route de Chambéry à Genève. Il se situe sur la commune de Chaumont, dans le département de la Haute-Savoie.

Histoire.

Au XIe siècle le château faisait partie d'un fief dépendant des comtes de Genève.

C'est en 1401 que le château devient la propriété des comtes de Savoie. En 1536, la France envahit la Savoie et le roi François Ier dort à Chaumont.

En 1589 et 1590 le château est attaqué par les troupes bernoises et genevoises.

En 1630 le château sera rasé par Louis XIII lors de la conquête de la Savoie.

Architecture.

Il n'en reste que des ruines.

Sources : Wikipédia 

Avenières


Le Château des Avenières est situé sur la commune de Cruseilles, dans le département de la Haute-Savoie.

Histoire.

Mosaïque de la chapelle du château,
représentant la carte
du « Chariot » des Tarots divinatoires.
C'est à une américaine, Mary Wallace Schillito que l'on doit le château des Avenières. Alors qu'elle se trouve en vacances à Genève, en 1904, elle part en excursion avec une amie, Marcelle Sénard, sur le Salève. Elle découvre l'actuel emplacement du château, où s'offre à son regard le panorama des Alpes, du Mont Blanc et du lac d'Annecy. Elle projette dès lors d'y faire construire une demeure. En 1905, la mort de son père, magnat des chemins de fer américains, la laisse unique héritière d'une grande fortune. Les travaux du château débutent alors pour s'achever en 1907. Les trente-cinq pièces du château accueillent de grandes réceptions où Mary va d'ailleurs rencontrer un ingénieur indien Assan Farid Dina, un qui devient son mari en 1914. Il est né en 1871 à l'île Maurice, d'un père pakistanais et d'une mère française, morte prématurément à Ceylan.

Dina, en 1917, complète la construction du château par la réalisation d'une centrale électrique et la captation d'une source dont les châtelains font également profiter les habitants des environs. Passionné d'ésotérisme et d'astronomie, il envisage la construction d'un observatoire sur le Salève et fait construire une route menant au sommet. Il adjoint une chapelle au château, dont les murs portent l'inscription « L'Univers est un œuf, l'œuf est un Univers » et sont couverts de mosaïques représentant les cartes du Tarot d'après Oswald Wirth. Le château devient le lieu de rencontre de la bonne société parisienne, qui vient y débattre de philosophie, égyptologie et ésotérisme. En 1928, Assan Farid Dina fait un malaise et meurt en traversant le canal de Suez sur une goélette anglaise qui l'emmenait à Ceylan, où il avait le projet de se recueillir sur la tombe de sa mère. Mary Dina devenue veuve, épouse en 1930 un pianiste suisse Ernest Britt. Le couple mène grand train et dilapide la presque totalité de la fortune de Mary qui divorce en 1936 et vend le château avant de s'installer en Suisse.

Une société devient alors propriétaire du château qui abrite tour à tour plusieurs locataires, une congrégation religieuse polonaise de 1938 à 1939, puis, pendant la Seconde Guerre mondiale, dès 1942, le Secours Suisse aux Enfants de la Guerre y accueille de jeunes malades. C'est ensuite le fameux collège de Juilly qui l'achète et s'y installe de 1948 à 1970. Parmi les élèves du collège, alors, on peut citer Claude Brasseur, Jean-Jacques Debout ou encore Philippe Noiret.

En 1970, c'est un négociant en vins d'Annemasse qui devient propriétaire du château, qui à sa mort, en 1978, est acheté par un architecte suisse Pascal Häusermann. Depuis 1994, c'est une société qui est propriétaire du château et l'exploite sous forme d'un hôtel-restaurant renommé. En 1996, Phil Collins s'y installe pendant quelques mois pour enregistrer Dance into the Light. La même année, José Giovanni y tourne Crime à l'altimètre. Puis en 2004, c'est Pascal Thomas qui y réalise les premières images de Mon petit doigt m'a dit...

Le château des Avenières est maintenant recensé par le guide Condé Nast Johansens.

Sources : Wikipédia 

Arcine


Centre de la seigneurie d'Arcine, le château d'Arcine est une maison forte situé sur la commune de Clarafond-Arcine, dans le département de Haute-Savoie.

Situation.

Au nord du bourg, sur un éperon de la montagne du Vuache. La maison forte domine la rive gauche du Rhône.

Description.

Il se compose de deux tours, l'une carrée, l'autre ronde, et d'un corps de logis, le tout ceint de murs.

Histoire.

Le château est au XIIe siècle la possession de la famille d'Arcine avant de passer sous l'autorité directe des comtes de Genève.

Par un acte daté de 1296, Amédée II le donne en fief à François de Lucinges, mais se réserve le droit d'appliquer les peines corporelles. La maison forte détient les droits de hautes justice exceptée : « excepta pena et animversatione corporali ».

Le 3 janvier 1398, Jean de Lucinge le vend à François de Verboz et à son épouse Louise Chaume. Guillaume de Verboz, qui a épousée Jeanne de Grolée, est seigneur d'Arcine quand il décède le 22 décembre 1439, en laissant 4 fils, l'ainé Jacques († 3 octobre 1484) est seigneur d'Arcine le 7 octobre 1457, après la tutelle de sa mère. On trouve en 1699 Philibert de Verboz[6] († vers 1704, fils de Claude de Verboz).

Le château passe à la famille Collomb suite au mariage survenu le 6 août 1712 entre Charlotte-Josette-Thérèse de Verboz († 1774) et de Viry François Collomb et donne naissance à la branche des Collomb d'Arcine, qui préfèrent résider au château du Sougey ou au château d'Ésery ; la seigneurie est ensuite entre les mains du comte Jean-François Emmanuel d'Arcine.

Il est vendu en 1894 par mademoiselle Hélène Collomb d'Arcine à Gustave Burlat.

Émile Bélime le réaménage complètement au XXe siècle.

Sources : Wikipédia 

Donjon de Montpeyroux


La Tour de Montpeyroux (altitude 490 mètres au sommet) est située sur la commune de Montpeyroux, dans le département du Puy de Dôme.

Construit au XIIème siècle dans le style Philippe-Auguste, le donjon de Montpeyroux se situe au sommet d’une colline dominant l’Allier. De plan circulaire, il comprend trois étages; du premier étage, entrée du donjon, on accède aux étages supérieurs par un escalier intra muros alors que le passage vers le rez-de-chaussée se fait par une trappe. Actuellement, la salle du rez-de-chaussée sert d’entrée et chaque salle a conservé ses voûtes. De la plate-forme qui couronne le donjon, s’étale une vue panoramique sur la chaîne des Puys, le massif du Sancy et les monts du Cantal. Au centre de l’enceinte fortifiée, le donjon commande la défense non seulement du bourg médiéval qu’il domine de plus de trente mètres mais aussi des petits villages des alentours dont il assure la protection. Comme la plupart des constructions de la région, le donjon est construit avec la pierre de Montpeyroux, un grès appelé arkose qui donne des reflets dorés aux bâtiments. Fief confié par le roi Philippe Auguste aux seigneurs de la Tour d’Auvergne, Montpeyroux a connu comme seigneur au XVIème siècle Catherine de Médicis et sa fille Marguerite de Valois surnommée la «Reine Margot». (Le Château en Belgique et en France

Accès aux escaliers intra muros.
Salle voûtée avec une cheminée.
Trappe vers le rez-de-chaussée.

La Barge


Château de la Barge du XIIIe: XVIe; XVIIe et XVIIIe siècles qui fait l'objet d'une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le 3 juin 1975. Il est situé sur la commune de courpière dans le département du Puy de Dôme.

Château de la Barge dont la seigneurie est mentionnée dans les archives dès 1190, avec chapelle du XVIe siècle. (Wikipédia)


Château de plaine construit à proximité d’un gué de la Dore, la maison forte de Courpière a conservé ses douves ; de plan rectangulaire, elle est cantonnée de quatre tours qui lui donnent sa vocation défensive. Au XVIème siècle, la famille de La Barge transforme la maison en une résidence et intègre dans son architecture des éléments empruntés à la Renaissance. Principale illustration de cette modernisation, la terrasse à hauteur du premier étage est soutenue par des colonnes en façade ou des arcades en pourtour de tours. Composée de 400 balustres, elle conduit au toit en terrasse de la chapelle reconstruite après les guerres de religion (1569). Cette chapelle contient quelques fenêtres gothiques ornées de vitraux peints du XVIème. La cour d’honneur est garnie de quatre carrés de pelouse et entourée par la maison du jardinier et des dépendances organisées en "U" autour d'une basse cour séparée de la cour d'honneur par la chapelle et un parterre de buis. Dans la prolongation de l'axe du château et de la cour d'honneur, le jardin en terrasses ordonancé à la française est construit autour de trois rectangles ayant en leur centre un bassin et prolongé d'une pelouse clôturée par un mur avec un pavillon à chaque extrémité. (Le Château en Belgique et en France)

Château de la Barge : jardins dans l’axe du logis.
Le château de la Barge et ses communs.
Chapelle et vitraux XVIe.
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