samedi 4 décembre 2010

Ancenis

Les remparts du château.

Le Château d'Ancenis est un château, bâti en 984 sur les bords de la Loire dans la ville d'Ancenis, en Loire-Atlantique.

Il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 2 novembre 1977. Cette protection concerne l’ensemble des fortifications, ainsi que les façades et toitures des bâtis (logis Renaissance, ancienne chapelle et du logis dit « de Marie Fouquet »).

Il s'agissait, à l'origine, d'une motte castrale, c'est-à-dire un donjon en bois élevé sur un tertre. Il possèdait des défenses rudimentaires, à savoir un fossé, une simple palissade avec un enclos pour abriter la population. De part sa position, Il devint rapidement un endroit idéal pour surveiller le fleuve, exerçant ainsi un contrôle militaire et économique.

La forteresse médiévale (XVe siècle) possède un système d'accès unique : un pont-levis couvert disposé en chicane et une galerie voûtée coudée avec une herse.

Sources : Wikipédia 

Latour


Le Château de Latour est situé à Marnhagues-et-Latour dans l'Aveyron, sur un promontoire rocheux qui domine la Sorgues.

Description.

    * La bâtisse se compose à l’est et au sud de deux corps de logis disposés en L dont les extrémités sont reliées par une partie inscrite dans un arc de cercle. Elle comprend donjon, chemin de ronde, échauguettes polygonales, fenêtres à arcade géminée.
    * À l’intérieur, on découvre entre autres un plafond peint du XVIe siècle et la reconstitution d’une cellule de moniale. Certaines pièces ont été aménagées en gîte.

Histoire.

Origines

Façade est.
    * En 957, Sénégonde cède une partie de la seigneurie à Frotaire, évêque de Cahors et à son frère Bernard Aton II, vicomte d'Albi et de Nîmes.

de La Tour

    * Gago, marié à Adélaïs;
    * Gago, fils des précédents, marié à Guillelme; en 1133, il cède des terres aux religieux de Sylvanès, en rémission des péchés de son père;
    * Arnaud, marié à Anglésie; en 1205, il fait un don à Pétronille, abbesse de Nonenque;
    * Mérode, cité en 1300;
    * Guilbert, cité en 1302; il est aussi coseigneur de Rebourguil;
    * Bernard, cité en 1375 et 1391, damoiseau;
    * Flottard, cité en 1396; le fief relève alors du comté de Rodez.

de Roquefeuil
Au XVe siècle, un rameau de la famille de Roquefeuil-Versols, elle-même branche aînée de la famille de Roquefeuil, acquiert le fief.

    * Jean, fils de Pierre de Roquefeuil ( - 1410) et d'Isabelle Pelet; il est cité en 1426 et 1439;
    * Sicard, fils du précédent;
    * Jean, fils du précédent, marié à Hélix de Lauzières;
    * François, fils du précédent; il est cité en 1535;
    * Louis, fils du précédent; en 1601, il cède toutes ses terres à son cousin germain, qui suit;
Cour intérieure.
    * Francois, cousin du précédent, marié en 1569 à Louise d'Ombras; il est aussi seigneur de Londres et de Viols;
    * Fulcrand, fils des précédents, marié en 1609 à Marguerite d'Aquillon; il est aussi baron de Londres;
    * Blaise, fils des précédents, marié en secondes noces en 1656 à Jeanne de Soubiran ( - 1709); il est aussi baron de Londres et vicomte de la Rode.

de Bonald
Au milieu du XVIIe siècle, la terre est vendue à la famille de Bonald qui la conserve jusqu’à la Révolution.

    * Jacques ( - 1694), marié à Marie Anne de Mostuéjouls, sans enfants;
    * Honoré (1630 - 1711), neveu du précédent, conseiller du roi, vicomte de la Rode, marié en troisièmes noces en 1685 à Marie Félicie de Pélamourgue du Pouget;
    * Antoine Sébastien (1704 - 1758), fils des précédents, chevalier, vicomte de la Rode;
    * Louis Ambroise Gabriel (1754 - 1840), vicomte de la Rode, philosophe et académicien, marié en 1778 à Marie Magdelaine Elisabeth Guibal de Combescure;
    * Victor Étienne Marie (1780 - 1871), chevalier, vicomte de la Rode et de Bonald;

Époque contemporaine

    * Depuis 1991, le château appartient à la commune de Marnhagues-et-Latour. Des manifestations et des visites sont organisées par l'Association des Amis du château de Latour, qui a entrepris la restauration du château.

Sources : Wikipédia 

Tour de Falhiès

Vestiges actuels de la tour.

La Tour de Falhiès ou de Faliès est une ancienne tour carrée construite avant le XIe siècle à 920 mètres d'altitude, en bordure du plateau du Coyan, dominant la vallée de la Jordanne, sur la commune de Velzic dans le Cantal.


Description.

Essai de restitution du site défensif de Falhiès.
Tour carrée, sur le même modèle que celles du château Saint-Étienne d'Aurillac, de Saint-Simon, de Naucelles, faisant partie d'un réseau de guet et de défense mis en place par l'abbaye d'Aurillac afin de prévenir des incursion Vikings par la vallée de la Dordogne. Ce système a été reconstitué visuellement en 1986 avec des fumigènes enflammés au sommet du Château Saint Étienne d'Aurillac, au sommet de la Tour de Saint Simon et à la Tour de Falhiès, et il fonctionne parfaitement.

Les restes subsistants datent du XIe siècle, avec un bel appareillage de pierres de taille. Les dimensions extérieures de la tour sont d'environ 8 mètres sur 8, avec 1,80 m d'épaisseur de murs. Elle comprenait au moins quatre étages, avec un accès au 1er étage par une échelle qu'on retirait. Un boyau de pierre, dans l'épaisseur d'un mur, permettait la montée et la descente facile de nourriture ou d'objets de nécessité. Il reste l'entrée de ce canal sur la façade extérieure Nord.

La Tour faisait l'angle de fortifications en forme de coquille Saint Jacques, avec une tourelle avancée, au-dessus du chemin d'accès. Les ruines d'un bâtiment annexe, à quelques mètres au Nord de la Tour, contiennent les restes d'un four à pain.

Histoire.

Dessin vers 1900, par Loup du Coyan.
    * En 1573, c'est le fief de Géraud (de) Labeau, consul d'Aurillac, dont les descendants en reprendront le nom, jusqu'à Guillaume de Falihès qui la revendra en 1689 à la famille de Frayssi de Veyrac. Elle se la transmettra alors par succession à la famille de Sénezergues, puis à celle de Lacarrière.

    * Pierre Lacarrière, fils de Géraud II Lacarrière et Jeanne de Verdier, arrière petit fils d'autre Géraud Lacarrière, qui fut député en 1579 aux États généraux de Haute-Auvergne, était seigneur de la Tour de Falhiès dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. Son fils :

    * Géraud III Lacarrière de la Tour (1674-1754), se marie avec Marie-Thècles de Sénezergues qui lui donne au moins trois fils :

          o Guillaume Lacarrière, conseiller au Présidial puis au baillliage d'Aurillac, qui épouse en 1736 Philiberte de Passefons de Carbonat, fille de Joseph, seigneur de Carbonat, avec dispense de consanguinité du 4ème degré.
          o Jean-François de Lacarrière de La Tour,,
          o Géraud IV de Lacarrière de La Tour, seigneur de la Tour de Falhiès, se maria avec Marie Mastamjoux, qui lui dona six enfants dont :

    * Guillaume de Lacarrière de la Tour de Falhiès, lieutenant général, qui présida l'assemblée chargée d'élire les députés aux États généraux. Homme probre, ami des pauvres, il montra beaucoup de bon sens pendant la période révolutionnaire. Le conventionnel Carrier le fit emprisonner comme "aristocrate caché et dangereux". Il se marria en 1776 avec Louise Daudin, fille de Joseph et de Jeanne-Marie de Dourdou de Pierrefiche, qui lui donna deux filles et un fils :

    * Arsène Lacarrière-Latour, né en 1778, sera un aventurier et un visionnaire. Soldat glorieux au service des États-Unis, architecte et fondateur de la ville de Baton Rouge en Louisiane, lié aux flibustiers du Golfe du Mexique. Il était très lié au Général Jackson, qui devint président des États-Unis. Il était à ses côtés lors de la II°guerre d'Indépendance des États-Unis. Il revint mourir dans le Cantal en 1837.

Relevé topographique du site défensif de Falhiès.
    * En 1885, la Tour de Falhiès était encore habitée. Y mourrait Marthe Désirée Roger-Ducos (1822-1855), femme du docteur Jean-Antoine Capelle de Puechjean (1813-1897), originaire du château de Clavières de Velzic. Elle-même était très fortunée, puisqu'elle était la petite-fille du 3e Consul de la République (avec Sieyès et Bonaparte qui avait signé le contrat de mariage de ses parents) et par sa mère du baron Jean-Baptiste Perret (1762-1843). Le docteur se consola et se remaria l'année suivante avec Marie-Antoinette Baudière, plus jeune que lui de quarante ans, qui lui donna une fille: Marie-Amélie Capelle de Puechjean qui vécut à Falhiès. Après sa mort, La Tour et ses dépendances furent abandonnées.

Au début du XXe siècle, les pierres furent volées. Plusieurs granges alentour ont été construites avec les pierres de la tour.

Visites.

Entre 1983 et 1988, des spectacles son et lumière ont été organisés dans ce lieu très isolé. Une croix de pierre a été élevée en 1983, dominant le plateau, face au Coyan. Un chantier d'archéologie y a été organisé par la SARA, Société d'Archéologie de la Région d'Aurillac.

La Tour de Falhiès est un point de passage de la "Route Saint Géraud", créée en 1992 pour rappeler le souvenir de Saint Géraud, à travers les hauts lieux de sa vie, dans le Cantal, l'Aveyron et le Lot.

Sources : Wikipédia 

Clavières (Velzic)

Le Château de Clavières est situé à Velzic dans le Cantal, dans la vallée de la Jordanne.

Description.

Résidence campagnarde qui se compose de deux éléments : le logis principal construit vers 1630 et un pavillon à la suite, ajouté vers 1660. La toiture principale présente un large fronton central et deux fenêtres à fronton-pignon l'encadrant : c’est un édifice typique des demeures bourgeoises cantaliennes.

Les façades et les toitures du château et de ses communs sont protégés au titre de son inscription à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 29 décembre 1978

Famille de Gagnac.

Il appartenait à Pierre de Gagnac ou de Gaignac, magistrat à Aurillac, dont la fille

    * Marguerite de Gagnac de Clavières a épousé Jean-Antoine del Cros de Bérail, fils de François et de Françoise de Montboissier-Beaufort-Canillac. Ils ont eu un fils :
    * François del Cros de Bérail, marié à Claudia de Prévinquières.

Famille Capelle de Puechjean.

    * le Docteur Jean-Antoine Capelle de Puechjean (1813-1897), maire de Velzic, épousa en premières noces Marthe Désirée Roger-Ducos (1822-1855), petite-fille du 3e Consul de la République et par sa mère du baron Jean-Baptiste Perret (1762-1843), et en secondes noces en 1856 Marie-Antoinette Baudière, plus jeune que lui de quarante ans, qui lui donna une fille :
    * Marie-Amélie Capelle de Puechjean qui vécut dans la tour de Falhiès.

Sources : Wikipédia 

Clavières-Ayrens


Le Château de Clavières est situé à Ayrens, une commune française, située dans le département du Cantal et la région Auvergne.


Description.

Magnifique parc, avec étang, ruisseau, pavillons, plantations, portail monumental, communs, autour des ruines du château. L'ensemble est à l'état d'abandon.

Histoire.

Un incendie a ravagé cette résidence le 25 mai 1936, n'en laissant presque que des ruines. Une vente plus récente a privé Ayrens des derniers vestiges de ce château de style troubadour, et la vente malheureuse des deux pavillons d'entrée empêche maintenant l'accès aux vestiges de son magnifique parc à l'abandon.

Avant, ou englobé à l'intérieur de cette composition néo-médiévale, il a existé au XIIIe un ancien château fort qui sera détruit au XVIe.

Famille d'Albars.

Ce fief appartenait en 1284 à Rigaud d'Albars, chevalier, et à son fils Pierre, qui en rendent hommage. Plusieurs générations se succèdent jusqu'à :

    * Antoinette d'Albars de Clavières l'apporte en dot à Antoine de Guirbault. Leur fille,
    * Gilberte de Guirbaud, l'apporte en 1565 en dote à Gilbert Giscard qui en fait un repaire calviniste qui sera repris, confisqué, puis démantelé par M. de Canillac en 1579.

Famille de Cardaillac.

Le domaine est ensuite possédé par

    * Après 1579 François de Cardaillac, seigneur de Saint-Cernin, fils de François, seigneur de Lacapelle-Marival et de Madeleine de Bourbon-Malause, puis à son fils
    * Louis de Cardaillac, lieutenant-colonel, coseigneur de Saint-Cernin, qui vivait au château de Clavières avec sa mère Marguerite de Montal, en 1666. On ne lui connaît pas d'alliance, et c'est sa sœur :
    * Claudie de Cardaillac, dame de La Sepouse, épouse François Brachet, dont elle a une fille:
    * Isabeau Brachet de Peyrusse, dame de Clavière au moment de son mariage en 1699 avec Louis de Montrognon de Salvert, qui fait mettre en culture le domaine de Clavières. Ils ont deux fils, dont :
    * François-Gilbert de Montrognon, épouse en 1729 Henriette du Fayet de La Tour, puis en 1732 Philiberte Gautier, dame de Vaurs à Arpajon qui lui donne deux enfants :
          o Jeanne-Marie de Montrognon
          o François-Marie-Henri de Montrognon (1736-1800).

Famille Capelle.

On trouve ensuite que Clavières est possédé par Jean-François Capelle, conseiller au Présidial d' Aurillac, qui a dû l'acheter, puis par son fils

    * Antoine François Capelle de Clavières, officier de cavalerie, qui en était seigneur, et dont les récoltes furent entièrement détruites par un violent orage de grèle, de telle sorte qu'il se pend dans la grande salle du château le 30 juin 1727, ne laissant qu'un fils encore enfant.

sa sœur lui succède :

    * Jeanne de Capelle de Clavières, et l'apporte en dot à
    * Étienne de Salle du Doux qui restaure le château en 1760.

Leur fille, Gabrielle de Salle du Doux, l'apporte en 1815 à

    * Charles de Pollalion de Glavenas. Leur fille,
    * Marie-Françoise de Pollalion, épouse en 1850
    * Louis-Désiré de La Salle de Rochemaure.

Sources : Wikipédia 

Clavières (Polminhac)


Le Château de Clavières est situé à Polminhac dans le Cantal, sur une hauteur dominant le vallée de la Cère, en vis à vis du château de Pesteils.

Description.

Ce château comprend un corps de bâtiment rectangulaire en pavillon de neuf travées régulières et de deux étages carrés sous un comble brisé percé d'autant de lucarnes, avec en son milieu une tour ronde formant rotonde.

Son architecture s'inspire de celle du bâtiment de la préfecture d'Aurillac construit entre 1800 et 1806 par l'ingénieur Demets.

Il possède un parc remarquable.

Histoire.

Construit ou reconstruit entièrement en 1857 par Joseph Salvages de Clavières (1830-1911), conseiller général du Cantal, sur une terre dit "Redonde" achetée le 23 février 1835 par son père François-Louis Salvages de Clavières (1802-1847) qui en avait fait le projet.

Le château a repris le nom d'une terre de Clavières qui était possédée plus anciennement par Gabriel Salvatge (1706-1743), oncle mort sans enfants .

Sources : Wikipédia 

Vivier


Le Château royal du Vivier se situe à Fontenay-Trésigny (Seine-et-Marne), France, dans un site remarquable du ru de Bréon affluent de l'Yerres.


Historique.

Le nom du site vient de l'étang poissonneux qui se trouve à côté.

La terre sur laquelle a été construit le château dépendait de la seigneurie de Tournan-en-Brie. Au XIIIe siècle la terre appartenait à la famille de Garlande. La terre est vendue en mai 1293 par Jean II de Garlande, seigneur de Tournan, à Pierre de Chambly, exécuteur testamentaire de Philippe III, chambellan de Philippe IV le Bel. Le roi lui avait cédé en 1285 la seigneurie de Livry en 1285. Il cède la seigneurie de Tournan à Charles de Valois en octobre 1293. Il est fait mention d'un "hôtel seigneurial" en 1260.

Par achat et par des dons faits par son frère, le roi Philippe IV, Charles de Valois a augmenté son domaine autour de la seigneurie de Tournan. Il a fait le logis. Evrard d'Orléans, peintre de la Cour, peint en 1308 les "salles et galeries" du Vivier. Philippe IV fit plusieurs séjours au château. Son fils, Philippe V fit des séjours au château en 1319 et 1320 et y signe des ordonnances sur l'organisation de la Cour des Comptes et le parlement de Paris.

En 1316, le pape Jean XXII donne une bulle autorisant la fondation d'une chapelle dédiée à saint Thomas Beckett.

En 1336, le roi Philippe VI de Valois, fils aîné de Charles de Valois, y a ajouté une chapelle dédiée à saint Louis.

Le château sert en 1352 de cadre fastueux pour le mariage de Jeanne de France, fille du roi Jean II le Bon, avec le roi de Navarre Charles le Mauvais. La chapelle a été élevée au rang de collégiale à cette occasion.

En 1368, le roi Charles V dépose dans la collégiale un fragment de la Vraie Croix faisant de la chapelle une Sainte-Chapelle. C'est probabement à cette époque qu'est construite la tour-porte du château qui semble antérieure aux tours du château de Vincennes.

Le château est visité par Charles VI dès le 26 octobre 1380, puis en 1381. Il va y être relégué pendant ses crises de folies à partir de sa première crise du 5 août 1392. C'est au cours de ses séjours que son médecin essaya de calmer ses crises en jouant avec lui avec des jeux de cartes qui venaient d'être introduits en France. Après, le château va décliner mais on continue à servir des carpes du vivier au château du Louvre. Pendant la guerre de Cent Ans le château est abandonné. On le restaure en 1391.

En 1471, Louis XI abandonne l'étang et le moulin aux chanoines de la Sainte-Chapelle.

François Ier est le dernier roi à avoir séjourné au château, en 1546. Cependant le logis royal étant dans un état de délabrement avancé par son manque d'entretien l'obligea à se loger chez les chanoines.

La charge de Trésorier du chapitre se transmet dans la famille de Donon qui recueille les revenus des biens du chapitre.

En 1694, un procès-verbal de visite décrit la Sainte-Chapelle "dans un état indécent, dans un château ruiné ...". Louis XIV décide alors de réunir la Sainte-Chapelle du château du Vivier à la Sainte-Chapelle de Vincennes.

Le sanctuaire de la Sainte-Chapelle du Vivier est définitivement supprimée par Louis XV en 1734.

Le château est vendu 25 000 livres en 1791. L'acheteur des terres utilise les bâtiments comme dépendances agricoles. L'achat des bâtiments en 1830 par Maître N. Parquin va permettre de sauver les ruines du château d'une destruction totale.

Sources : Wikipédia 
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