jeudi 13 janvier 2011

Effiat


Le Château d'Effiat est situé dans la commune d'Effiat, dans le département du Puy-de-Dôme en Auvergne (France).

Histoire.

Le château d'Effiat a fait partie d'un grand projet d' Antoine Coëffier de Ruzé d'Effiat, dit Ruzé, ami de Richelieu et conseiller du roi en 1625 dont les terres furent érigées en marquisat en 1627 et qui devint maréchal de France en 1631.

Il a fait appel aux architectes Jacques Lemercier et Clément Métezeau et au jardinier du roi, André Mollet pour créer à Effiat une ville nouvelle au tracé géométrique. le château a été construit de 1626 à 1628 puis l'église,leu collège de l'oratoire et l'hôpital de 1630 à 1632. Le projet de ville a été abandonné à sa mort.

Sous l'Ancien Régime, se trouvait dans l'enceinte du château, une école militaire, l'école royale militaire d'Effiat tenue par les oratoriens.

L'un de ses élèves les plus illustres fut le général Louis Charles Antoine Desaix.

Le château d'Effiat a été classé monument historique le 16 avril 1942 puis inscrit 6 juin 1980 et à nouveau classé le le 10 mars 2004.

Architecture.

Le château est situé au milieu d'une enceinte rectangulaire limitée par un canal formant douves. L'entrée se fait par un pont-levis et une porte monumentale. Le château est actuellement constitué d'un corps de logis d'ordonnance classique encadré de deux pavillons saillants, et les ailes qui les prolongeaient ont disparu. La façade est orné de pilastres doriques.

Les bâtiments des communs et de la ferme datent de la fin du XVIIe siècle.

Jardin.

Le jardin est constitués en particulier d'une terrasse où se trouve une grotte flanquée d'escaliers dont le mur est garni de niches, d'une avenue et d'une allée. Le jardin du château est inscrit au pré inventaire des jardins remarquables.


Sources : Wikipédia 

Chatenet


Le château de Chatenet situé à Rétaud en Charente-Maritime est construit sur un site archéologique.

Historique.

Un habitat gallo-romain aurait existé en ce lieu.

Plus tard le fief de Chatenet faisait partie de la commanderie des Épauds de Meursac. Renaud de Beaumont achète cette terre en 1302 et c'est au XIVe siècle que débute la construction du donjon destiné à surveiller les deux routes qui se croisent là, le grand chemin de Cozes et la voie de Mortagne à Rétaud.

Au XVe siècle c'est le fief d'une branche cadette des Beaumont. Ils restaurent le château et l'entourent d'une enceinte à tours d'angle et grande porte.

Au XVIIe siècle, par mariage le château passe aux Dexmier, qui prendront le nom d'Archiac en 1625 après le mariage d'un Dexmier avec Marie d'Archiac.

Le château passe par plusieurs familles par vente ou par mariage puis est vendu en 1845 à Louis Fretard d'Écoyeux. C'est le marquis de Serigny, mari de sa fille qui fera de grands travaux sur l'aile principale avec construction d'une autre aile et destruction de tous le bâtiments de l'avant-cour entre le donjon et la route.

Le docteur Favre achète Chatenet, le rénove, mais le château sera saccagé en 1945 lors de son arrestation pour faits de collaboration.

Architecture.

Une porte fortifiée garde l'accès à la cour.

Le donjon est rectangulaire, haut de 12 mètres, constitué d'un rez-de-chaussée semi-enterré surmonté de deux étages communiquant chacun avec le logis, le tout desservi par un escalier à vis dans une tourelle ronde. Le sommet est un étage de défense sous charpente.

Une des tours de défense a été transformée en pigeonnier puis en buanderie et four à pain.

L'aile la plus ancienne du logis comporte un vestibule avec un escalier en pierre et deux pièces.

Protection.

Le donjon fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 23 mars 1942.

Le reste de l'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 22 juillet 1942.

Sources : Wikipédia 

Château des évêques de Montpellier

Entrée nord du château (XVIe siècle).

Le château des évêques de Montpellier, dit localement château de Lavérune, est un édifice du XVIIIe siècle bâti sur l'emplacement d'une demeure du XVIe siècle, elle-même ayant succédé à un château féodal du XIIe siècle.

Il se situe dans le village de Lavérune, département de l'Hérault.

Protection.

Les façades et toitures du château, ainsi que le salon aux gypseries font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 23 juillet 1973. Les arrêtés suivants n'ont pas annulé cet ancien arrêté.

Le château avec son parc, tant pour la partie communale que pour le bosquet privé, fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 23 février 1998.

La porte fortifiée de l'ancien château donnant vers le centre de la commune, ainsi que le salon de musique du château avec son décor de gypseries font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 6 décembre 2000.

Sources : Wikipédia 

Logis de Vallade


Le logis de Vallade situé à Rétaud en Charente-Maritime est un château du XVIIIe siècle construit sur un site archéologique, qui a abrité des orphelins dans une colonie agricole.

Historique.

Un demeure appartenant à la famille Vallade aurait précédé le logis actuel construit à partir de 1746 par Henriette Michel, la veuve de Seguin Gentil, seigneur de Lafond et de Rétaud. Le logis va être transmis à sa fille Eustelle puis à sa petite fille Angélique qui divorce après que son mari ait émigré à la révolution et se remarie avec Jean Millon.

La succession amènera un long procès et le château finit par être saisi et adjugé en 1823 à Henri Constant d’Abzac. Celui-ci le cède en 1844 au comte Jean de Luc.

Ce nouveau propriétaire le comte Jean de Luc, aussi connu sous le nom de frère Théodose le transforme en Asile de Notre-Dame de Vallade, puis dès 1844, propose d'y recevoir des enfants orphelins ou abandonnés du département de la Charente-Inférieure. Le sous-préfet de Saintes décrit alors le château comme entourée d'environ 5 ha, une vaste maison mais dont il écrit « l'intérieur de la maison est fort délabré ». L'administration fermera cette colonie agricole, non seulement pour déroute financière mais aussi pour des « conditions d'accueil jugées mauvaises » ce qui semble recouvrir de mauvaises conditions d'accueil et des carences éducatives liées à l'absence de personnel féminin, ceci alors qu'ensuite les mêmes encadrants seront accusés d'abus sexuels sur mineurs à la colonie pénitentiaire de Pezet.

Suite à la faillite de la colonie agricole, le domaine est à nouveau saisi et vendu en 1852 à la barre du tribunal de Saintes. Georges Joseph Picard l'acquiert puis en 1890 il passe à la famille Meaume.

Architecture.

Le logis de Vallade est une maison noble qui a subi des remaniements avec en particulier la perte de la porte cochère et d’une aile de dépendances.

Il se présente comme un bâtiment bas avec accès par un perron central sur les deux façades, la porte étant surmontée d'un fronton triangulaire. Le toit recouvre des combles à brisis percés de six hautes lucarnes à fronton semi-circulaire dépassant le brisis du toit.

Les façades et toitures du logis, les deux perrons et l'escalier intérieur à balustres font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 3 juillet 1992.

Sources : Wikipédia 

Saint-Bauzille


Le château Saint-Bauzille est un château du XIXe siècle inscrit au titre des monuments historiques. Cet édifice représentatif des grands châteaux viticoles du biterrois est situé route de Bessan, à Béziers, dans l'Hérault.

Protection.

Le château avec son parc, ses portails et la maison du gardien, ainsi que les anciens communs, en totalité (cadastrés ER 16, 17, 19, 20, 25, 34), font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 5 décembre 2007.

Sources : Wikipédia 

Libouriac


Le château de Libouriac est un château inscrit au titre des monuments historiques, datant du dernier quart du XIXe siècle. Cet édifice représentatif de l'architecture éclectique est situé route de Pézenas, à Béziers, dans l'Hérault.

Protection.

L'ensemble constitué par le château, les façades et toitures des dépendances et bâtiments annexes tels que chapelle, maison des jardiniers, maison du régisseur, château d'eau-pigeonnier, cave viticole, greniers, remises et écuries, le parc, le petit parc et l'allée de pins — le tout cadastré DT 20, 22, 27, 28 — fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 décembre 1995.

Sources : Wikipédia 

Cazilhac


Le château de Cazilhac est un édifice dont la construction s'échelonne du XIIe ou XIIIe siècle jusqu'au XVIIe siècle. Ce bâtiment, inscrit au titre des monuments historiques, se situe au Bousquet-d'Orb, dans le département de l'Hérault.

Historique.

Situé sur la Via Tolosane qui mène à Compostelle, le site de Cazilhac dépend au haut Moyen Âge de l'abbaye de Joncels, établissement religieux cité dès 851 dans un acte de Pépin II, roi d'Aquitaine.

Pour surveiller la vallée de l'Orb — qu'ils mettent en valeur par la viticulture — les moines de Joncels construisent sur ce site une maison forte. L'époque de la construction est confuse : XIIe ou XIIIe siècle. Cet édifice est le noyau du château visible aujourd'hui.

Lors de la Guerre de Cent Ans, les grandes compagnies ravagent la région. En 1370, Cazilhac est occupé et pillé. Les grandes épidémies de peste achèvent de ruiner les lieux, notamment lors de la peste noire de 1348 et en 1465.

En 1512, la famille de Peyrottes (parfois, Peyrotte) achète Cazilhac qu'elle reconstruit au cours du XVIe siècle. La terre est alors mentionnée comme une seigneurie.

Cazilhac n'échappe cependant pas aux guerres de religion. Suite aux soubresauts de la « question protestante », le château est rasé en février 1627 sur ordre du duc de Montmorency, gouverneur du Languedoc.

Protection.

L'ensemble composé par les façades et toitures, ainsi que les terrasses du jardin (B 203 et 204 au cadastre) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 9 avril 1987.

Sources : Wikipédia 
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